Je vais bricoler des recettes de cuisine:
- Marinade de Pangolin.
- Barbecue de chauve souris.
Juste histoire de voir si on peut créer une nouvelle épidémie mortelle à coup de c0nneries alimentaires

!
Faites un "copier-coller" de toute la ligne, (Merci Wikipedia):
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pandémie_de_maladie_à_coronavirus_de_2019-2020#Origine_animale
Origine animale
Dans le début des années 2000, des coronavirus transmissibles à l'Homme ou sources de maladies émergentes zoonotiques ont été trouvés chez divers mammifères sauvages notamment vendus sur les marchés chinois : civettes des palmier (Paguma larvata), chien viverrins Nyctereutes procyonoides et Pangolin.
Les premiers malades signalés, en décembre 2019 travaillaient au marché de gros de fruits de mer de Huanan, à Wuhan. Les médias (BBC, Bloomberg) s'en font l'écho début janvier 2020.
Le 21 janvier, selon le Dr Xintian Xu (Institut Pasteur de Shanghai) et ses collègues, le SARS-CoV-2 a un ancêtre commun avec des coronavirus et analogues du SARS-CoV, évoquant le coronavirus de la chauve-souris HKU9-1. Le 23 janvier, les premiers résultats, provisoires, du séquençage du virus, publié par des membres de l'institut de virologie de Wuhan, de l'hôpital Jinyintan de Wuhan, de l'université de l'Académie chinoise des sciences et du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies de la province du Hubei montrent que le génome du SARS-CoV-2de est homologue à 96 % à celui d'un coronavirus de chauve-souris.
Le 5 février, Arnaud Fontanet (épidémiologiste) pense donc qu'une chauve-souris est le réservoir sauvage, et que le virus serait passé chez l'Homme au moins vers mi-novembre, via à un hôte intermédiaire animal du marché, encore inconnu.
Remarque : en 2020, des scientifiques notent que si les chiroptères sont en cause, au-delà de critères taxonomiques, géographique et de cycle biologique, il devrait alors y avoir une augmentation temporelles de risques d'excrétion de coronavirus au moment où les petits deviennent indépendants (car les juvéniles sont sujets à excrétion de ces virus). Le contact avec les chauves-souris et leurs excréments devrait donc être évité à cette époque de l'année (par exemple en interdisant l'accès aux grottes). Ce serait une stratégie alternative aux abattages parfois évoqués, éthiquement discutable ; pouvant entraîner des niveaux encore plus élevés de pathogènes ; défavorables à la biodiversité ; et qui nous priveraient de services écosystémiques-clés (les chiroptères sont — selon les espèces — pollinisateurs ou prédateurs nocturnes efficaces de moustiques vecteurs d'autres maladies ; éliminer les chiroptère exposerait à intensifier les épidémies de paludisme, dengue, etc.).
Finalement, à l'université d'agriculture de Chine du Sud, on démontre 99 % de similitudes entre le nouveau virus et des coronavirus de pangolins, un animal couramment braconné en Asie et notamment vendu sur le marché de Huanan.
Une hypothèse, posée par The Lancet début mars 2020 est qu'en outre des plateformes Internet populaires en Asie (ex: Kuaishou et Douyin), pourraient avoir encouragé des comportements à risque, en relayant des « mukbangs » (« vidéos alimentaires » montrant des personne se filmant en train de manger des aliments étranges ou dangereux ou en énorme quantité). En 2016, un hôte avait par exemple mangé, en direct, une soupe de chauves-souris. D'autres fois c'est l'escargot africain, une grenouille, le rat Chinois du bambou ou la pieuvre qui était mangé, parfois crus, voire encore vivant (poulpe notamment), malgré le risques qu'ils soient porteurs de bactéries ou virus sauvages à risque.
